LUTTE CONTRE LES IST, VIH/SIDA et Covid-19 : Les « Centres d’Accueil de l’Espoir » (CAES) dans un combat perpétuel !

A l’occasion de la journée internationale de la fille qui est célébrée chaque année le 11 octobre ; la consécration de cette journée est due au fait que les petites filles et les adolescentes font face à des difficultés  particulières liées notamment à leur condition d’enfant, visant à mettre en lumière les défis et les discriminations auxquelles les filles font face pour préparer leur avenir sur un pied d’égalité avec les garçons, l’ONG « Les Centres d’Accueil de l’Espoir » qui œuvrent dans l’encadrement Orphelins de Sida et autres Enfants Vulnérables (OEVs) s’impliquent de manière efficace  pour participer à l’amélioration de la condition sociale de l’enfant sans discrimination ni stigmatisation à travers non seulement la prise en charge des OEVs, leur formation et insertion socio-professionnelle, mais aussi l’éducation/Sensibilisation  des populations vulnérables des communautés pauvres de la ville de Yaoundé et ses environs dans le cadre de la prévention des IST/VIH/SIDA, les maladies opportunistes liées au VIH/SIDA telles que la tuberculose, le paludisme, les maladies de la peau, la Prévention de la Transmission  du VIH de la Mère à l’Enfant, la prévention des hépatites et la Covid-19. Les CAES encouragent les femmes enceintes à aller en consultation prénatale et œuvrent également à la vulgarisation des méthodes de planification familiale.

C’est ce vendredi 11 octobre 2024 que les sept (07) équipes d’Educateurs Communautaires et Educateurs Communautaires Stagiaires  se sont rendues dans les quartiers de la ville de Yaoundé, ainsi que dans la localité de BATCHENGA pour matérialiser une campagne d’affichage des messages éducatifs  relatifs  à la prévention des IST/VIH/SIDA et Covid-19 pour attirer l’attention  des populations , enfants, jeunes et adultes à prendre en compte les risques de propagation des IST/VIH/SIDA et la Covid-19 en rapport avec les éléments de vulnérabilité qui existent dans les zones  et la localité ciblées.

Au bout du compte, cinq cent vingt-cinq  (525) affiches ont été placardées sur les lieux à risque que sont les bars, restaurants, auberges, motels, rues chaudes, formations sanitaires. L’activité a eu un accueil positif au sein des populations  dans la mesure où celles-ci ont sollicité  d’autres descentes de sensibilisation.